L’Institut du Verbe Incarné, qui se veut être une autre prolongation de l’Incarnation du Verbe, « pour l’incarner dans tout ce qui est authentiquement humain » (Constitutions, 36), souhaite humblement à travers des œuvres de miséricorde :
Ainsi, nous voulons suivre les traces du Verbe Incarné qui, venant nous racheter du péché, a même eu pitié des blessures qu’il a causées en nous, sachant qu’il a traversé ce monde en guérissant les hommes de leurs misères physiques et spirituelles, ce qui a donné la preuve fiable de sa miséricorde et de son amour pour le Père.
En résumant ce que notre esprit devrait être dans la pratique des œuvres de miséricorde appelées « corporelles », nous nous rappelons l’exhortation de la Bienheureuse Mère Teresa de Calcutta : « Nous ne sommes pas ici pour le travail. Nous sommes là pour Jésus. Nous sommes avant tout des religieux. Nous ne sommes pas des assistants sociaux, enseignants, infirmières, médecins : nous servons Jésus dans les pauvres et tout ce que nous faisons c’est pour lui… »
Certaines des œuvres de miséricorde de notre famille religieuse sont :